Poèmes - Magnus

55 . . .des rancunes apaisées, des injures oubl iées, des premières heures ensolei l lées, des étés étonnés. Le vent chasse la pest i lence de la mégapole gazée Le temps passe et l ’absence fol le est presque cicatr isée Autour des clochers se dessine comme un peu de clar té De loin en loin toutes les lueurs ne sont plus d’host i l i té J ’ai même croisé une femme vers le sud près d’un sent ier El le m’a di t qu’i l y avai t là un pui ts non tar i Que son eau étai t saine, qu’i l y faisai t bon à minui t Viens. . . m’a-t-el le di t . T ’en souviens-tu dis ? en cet instant trop nu. . . .

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