Poèmes - Magnus

38 . . . . toujours hier --- le long de l ’al lée longue où, oui , i ls errent de veuvages en faux ménages et de ravages en carnages les yeux sur le marbre moui l lés les aveux près de l ’arbre l ’été les vieux le pas las fat igué les vieux l ’al lure cour te et lente dont les souveni rs mut i lés se murmurent se murmurent se bafoui l lent et puis s’éteignent et que personne n’écoute à l ’heure des derniers doutes et qui s’étonnent quand i ls sont au bout de la route même qu’i l y en a qui chialent comme en pleine déroute et que nom de dieu ça se voi t pas ---un vieux qui pleure et qui par le tout seul en se levant en se couchant «Bonjour, bonsoi r, dors-bien» «sur tout ne prends pas froid»

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